Tu peux entrer Gabriel

Argaïl était dans son bureau, chose passablement rare car il n’y était presque jamais. Il semblait réfléchir et avait un plan étrange étaler devant lui avec des pions et des jetons. Cela représentait sans doute le plan d’un champ de bataille mais d’un point de vue extérieur ce n’était pas facile à deviner. D’autant plus que la politique actuel était d’éviter les batailles rangés car les humains n’avaient presque jamais l’avantage.

*Ne soyons pas hatifs*

Argaïl semblait attendre quelqu’un mais sa patience ne semblait pas être entaillé, il griffonnait quelques notes par ci par là et semblait réfléchir à de nombreuses choses en même temps. Il leva un instant les yeux au ciel avant de se lever de sa chaise pour aller jusqu’à une armoire de laquelle il sortit une bouteille de bon vin et deux verres.

L’homme était vêtu d’un pantalon de toile noir ample et d’une chemise blanche de haute couture, ses cheveux étaient détachés et ses bagues en argents n’avaient pas quittés ses doigts. Il semblait droit propre et franc, on aurait presque dit qu’il s’apprêtait à faire un discourt officiel lorsque quelqu’un frappa à la porte.

« Tu peux entrer Gabriel. »

A les voirscôtes à côtes, on aurait pu croire ses deux hommes frère, tant leurs carrures et leurs visages se ressemblaient, de même que leurs cheveux. Cependant c’était bien loin d’être le cas, même si une relation très forte les liait. Argaïl ne répondit pas à la question posé et désigna de la main la chaise qui était en face de son bureau pendant qu’il sortait une missive d’un de ses tiroirs pour la poser sur la table.

« Un cavalier elfe m’a apporté ceci dans l’après midi, cela porte le sceau de la grande reine elfe. Cela m’a beaucoup étonner moi aussi mais elle demande une rencontre entre nous deux exclusivement, sans doute pour discuter politique, renouveler les pactes et les ententes commerciales. »

Argaïl s’arrêtât avant de poser son regard directement dans celui de son interlocuteur, il resta quelques seconde comme cela aussi sérieux qu’un homme pouvait l’être.

« J’ai besoin de toi ! J’ai besoin de ton avis sur le comportement que je devrais avoir, les questions à poser, les pactes à discuter. J’aurais grandement aimé que tu puisse m’accompagné, mais cette fois c’est impossible. Je ne veux pas risquer un accident diplomatique mais j’aimerais que les liens que nous avons avec les elfes s’accentues. Nous avons besoin de leur bois et également de leurs céréales, eux seuls savent le faire pousser autant… Et j’aimerais tenter de leurs fournir des armes bénites, je n’ai pas beaucoup d’espoir de les voir nous soutenir en guerre, mais lorsque l’on est armé, on à plus tendance à vouloir s’en servir. »

Argaïl était très sérieux et une fois qu’il eu finit son discourt, il remplit les deux vers de vin qui étaient sur la table, sans pour autant porter le sien à ses lèvres. Aucun sourire ne se voyait sur son visage, pas plus qu’aucun sentiment à vrai dire, il semblait à la fois redouter et attendre la rencontre.

« Et puis je t’ai fait mandé pour autre chose également, nous avons de nouveaux formateurs militaire et j’aurais besoin que tu aille jeter un coup d’œil, vérifier s’ils sont compétant. J’aimerais aussi que tu m’envois demain à la première heure une paire de bons espions, j’aurais quelques affaires à leurs soumettre, mais revenons à notre sujet principal. J’aimerais ton avis ainsi que des idées de sujet que je pourrais aborder avec elle, de plus tu t’occuperas du brouillon de réponse à sa missive, j’aimerais que tu me le fasse parvenir demain midi au plus tard. »

Argaïl avait conscience qu’il exigeait beaucoup de ce jeune homme, mais il n’avait confiance en nul autre autant qu’en lui. Et à l’heure des honneurs, il savait admettre qui étaient ceux qui en méritait le plus, il n’était pas avare de compliment, ni de récompense.

Argaïl ne dit pas mot durant les tirades de son second, en effet il détestait interrompre les gens, encore plus lorsqu’il respectait leurs idée. Son point de vue avait toujours été intéressant et fou aurait été celui qui le négligerait, cependant il fallait faire fit de la forme au profit du fond car le jeune homme était passé maître dans l’art d’utiliser les bons mots au bon moment pour avoir un maximum d’impact.

Argaïl avait déjà réfléchit à tout cela bien avant de le faire mander et les réponses qu’il obtint de lui ne le surprirent pas le moins du monde, du moins elle ne semblait pas le faire. Et même une fois qu’il eu terminé il garda le silence quelques secondes, lui n’avait pas prit de note. Il prit une grande inspiration puis reprit la parole, avec le même ton qu’il avait eu depuis ses premier mots.

« Je pensais aller jusqu’à ouvrir nos frontière complètement aux marchand Elfe, pour le moment, et peut être à sa population dans un second temps. J’entend par là détaxé tout les produit venant de la terre Elfe et laisser les marchand les vendre au cœur de notre cité. J’aurais même aller plus loin en proposant aux haut dignitaire de chaque race d’avoir libre accès à la bibliothèque de l’autre cité, mais c’est peut être encore un peu téméraire. Je ne veux pas qu’elle croit à un pot-de-vin. »

Argaïl prit délicatement son verre sans le regarder et le porta à sa bouche pour en boire une petite gorgée, les vampire on le sang et les humains l’alcool, chacun son vice. Argaïl reposa son verre sans y avoir jamais porté le moindre regard, restant silencieux comme réfléchissant à ses prochaines paroles.

« Maintenant venons en à mes paroles et mes actions propre, quel style dois-je avoir devant le peuple Elfe, et quel est celui que je devrais avoir devant la grande reine ? Les mots que je dois utiliser, je n’ai pas l’habitude de telle réunion et c’est la première fois que je vais avoir une reine Elfe en tête à tête. »

Il n’avait pas parler énormément de tout ce qui avait été abordé par Gabriel, mais cela signifiait clairement qu’il l’avait compris, assimilé et qu’il n’avait rien à en redire, ou qu’il savait que son interlocuteur n’en démordrait pas. Après tout il ne cherchait visiblement pas un débat, mais bel et bien l’avis de son Second, de son ami. Il voulait savoir tout ce qu’il pensait de cela sans pour autant toujours s’aligner sur ses paroles, il savait qu’il n’était ni agréable ni sympathique, mais il faisait tout ce qu’il pouvait pour être le meilleur chef pour son peuple.

Argaïl avait écouté à son tour, sans jamais prendre la moindre note, il semblait tout retenir dans sa mémoire et Gabriel savait que c’était en grande partit le cas. Il était du genre à garder l’essentiel et à rapidement oublié ce qu’il trouvait sans grande importance, et en cela ne pas prendre de notes était à la fois bon et mauvais, car certains détails pouvait lui échappé alors qu’il se souvenait mots pour mots des choses les plus importantes. Encore une fois il était en grande partie d’accord avec ce que disait son second, mais sur certains points il allait le contredire et dans ces cas là, même Gabriel avait du mal à lui faire changer d’avis.

Son verre de vin était maintenant vide, car lorsque les oreilles écoute et que le cerveau pense et analyse, il arrive que les mains et la bouche s’ennuient, et donc en profite pour attraper, goûter, ce qui passe à leurs porter, n’est-ce pas le principe du chewing-gum et bien trop souvent de la cigarette dans les société actuelle ? Mais passons et revenons en à la conversation.

« J’ouvrirais nos frontière à leurs marchands, et ensuite à leurs peuple sans hésitation aucune. Si le peule à le droit de pénétré il aura le droit de consulter notre bibliothèque, et les haut-dignitaire auront le droit de consulter les livres que nous gardons ici en secret, du moins tout ceux qui n’ont pas de rapport avec les vampires. »

Pour tout ce qui était du comportement, c’était clair net et précis et il n’avait pas à revenir dessus, il devait se montrer agréable mais strict et en aucun cas porter le moindre affront à la reine et à son peuple. C’était bien comme cela qu’il voyait les choses également.

« Si tu n’as plus aucun conseil à me donner je pense que tu peux disposer, je sais que je te charge de travail et je ne voudrais pas te retenir d’avantage. Mais si tu le souhaites, nous pouvons aller manger un morceau ensemble, cela fait depuis ce matin que je n’ai rien avaler. »

[très court désolé, et avec beaucoup de retard, mais bon voila....]

Argaïl mit la lettre dans une enveloppe et la déposa devant son second, bien entendu il avait besoin de la question pour rédiger la réponse. Il était prêt à se lever pour aller manger mais il se ravisa en se rappelant qu’il possédait quelque chose de très agréable parfois, une cloche en argent massif qu’il fit sonner. Deux jeunes personnes entrèrent, un garçon et une fille. Argaïl les regarda avant de reprendre la parole.

« Vous irez rapporter aux cuisiniers que nous désirons prendre notre repas, qu’on nous le fasse apporter dans les jardins, après tout le temps est doux et agréable, et cela me fera sortir un peu pour respirer un peu l’air frais. Qu’on nous fasse apporter une autre bouteille de vin également, je n’ai aucune recommandation particulière sur le repas, qu’on nous prépare ce que l’on possède encore en abondance. Une fois que vous serez aller en cuisine vous dresserez la table dans les jardins, puis lorsque le repas sera prêt vous viendrez nous chercher, nous serons probablement dehors. Vous pouvez disposer. »

Il reposa son attention sur Gabriel et lui sourit, de cette façon ils avaient gagner un peu de temps. Argaïl se leva et éteint la bougie qui illuminait son bureau entre son pouce et son index. Il faisait sombre mais il y avait encore suffisamment de lumière pour trouver facilement son chemin.

« Allons y »

La jeune femme était perdu dans un croisement de couloir … Elle était entrée dans le grand palais et avait prévu la catastrophe, elle avait donc demander son chemin pour ne pas se perdre …. Mais savez vous ce que c’est que d’être le souffre douleur du destin ??? Et ba Sephora elle, elle savait ! Malgré toutes ses précautions elle était bel et bien perdue …

*j’ai bien prit a droite après le grand couloire et je suis sensé être arriver … Pourquoi y a une carrefour …. *

La jeune femme était dépiter … elle avait vraiment un sens de l’orientation déplorable … Bon le tout maintenant était de réfléchir … quelle couloir allait t’elle prendre ???

*Droite ? Gauche ? ou tout droit ? … humm Bon si on m’a pas dit de tournée c’est que cela doit être tout droit !*

Elle s’engagea donc d’un pas décider dans le couloir qui allait tout droit … Espérons qu’elle ne se soit pas encore trompée…

Elle avance pendant plusieurs minute en se lamentant qu’elle devait encore avoir pris le mauvais chemin… Elle traita aussi le destin de tous les noms qui lui passait par la tete

Mais soudain elle s’interrompit à la vue d’une plaque en cuivre … Bureau d’argail

* OAUISSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS !!!! *

Jubila intérieurement la jeune fille en faisant un petit tour sur elle-même… Espérons pour elle que personne ne la verrai dans cet état la sinon c’était l’internement d’office …

Elle se calma un peu avant de frapper à la porte … Elle respira un grand coup … Elle allait rencontrer le beau, le grand, le magnifique … que dis-je ! Le célèbrissisme ARGAIL HAAAAAAAA … bon calmons un peu le jeu.

Une fois qu’elle eut reprit une posture et un état d’esprit un peu plus sérieuse elle frappa à la porte en attendant qu’on lui offre l’honneur d’entrée …

Argaïl semblait étonner que quelqu’un ai frappé à sa porte alors qu’il était censé être en réunion, et pour parler d’une chose secrète qui plus est. Le coté militaire du jeune chef reprit le dessus ainsi que sa méfiance (qui elle ne l’avait jamais quitté) et il ouvrit une malle dans laquelle se trouvait une longue épée. Gabriel allait certainement réprimé cette initiative, mais ce n’était pas les tentatives d’assassinats qui manquait dans ce royaume. La chance était infime, mais de toute façon, personne n’avait à le déranger lorsqu’il était en réunion, sauf pour des problèmes urgents, et si problèmes urgent il y avait, et bien la prudence était de mise.
Il dégaina sa lame doucement tout en regardant Gabriel et en lui demandant en signe militaire (qu’il lui avait appris lorsqu’ils étaient encore tout deux à l’armé) d’ouvrir lentement la porte.

« Comment diable êtes vous parvenus jusqu’ici ? Je connais des gardes qui vont passer un sale quart d’heure c’est moi qui vous le dit ! Personne ne doit entrer ou sortir d’ici sans mon autorisation… Bon… Excusez moi de cet accueil, mais comprenez que ceci est tout bonnement inacceptable de la part de la sécurité… Gabriel, je te présente… Quel est votre nom déjà ? Enfin c’est une fille que j’ai rencontré en ville il y à peu, je crois qu’elle va pouvoir nous aider. »

Argaïl reposa son arme puis sortit de la pièce lança deux trois ordres à deux gardes qui venait d’arriver. Visiblement ça n’allait pas se passer comme ça et les soldats qui seraient mis en cause risquaient fortement de ne pas être nourris pendant 20 ans. Argaïl revint mais resta de l’autre coté de la porte.

« Nous allions manger, je vous propose de vous joindre à nous pour que vous puissiez vous introduire à mon second, conseillé et ami. J’espère qu’il sera autant convaincu que moi de vos capacité à nous venir en aide. Bon Allons-y.»

La jeune fille attendait toujours devant la porte en se demandant ce que pouvait bien fabriquer le beau et grand argail ... HAN mais peut etre était -il en compagnie d'une jeune demoiselle et étant très occuper il ne pouvais ou ne voulait pas lui ouvrir ... La jeune femme était en plein film lorsqu'elle vit la clanche se baissait ...

Elle allait clamait un bonjour fort et joyeux lorsqu'elle entendit argail lui dire sur un ton PAS TRES GENTILS !! que c'était inaceptable qu'elle est réussis a pénétré dans les bureaux ... La jeune femme lui fit un sourire charmeur ...

"vous savez les hommes c'est tous les même un jolie sourire deux ou trois battement de cil et hop c'est fait ..."

dit elle en souriant toujours puis elle reprit son sérieux et eut un sourire chaleureux ...

"bon mon sourire ma surement aider mais a mon avis il se sont surement dit qu'une jeune femme portant un crucifix a sa taille ne pouvais pas être agressive ... et encore moin une vampire ..."

dit elle en souriant ... Puis lorsqu'il lui dit qu'il allaiient justement déjeuner avec gabriel et que cela serai bien si elle le pouvait qu'elle se joigne à eux la jeune femme répondit ...

"je vous suit avec grand plaisir ... on ne peut décement pas refuser une telle invitation ..."

Puis elle rajouta ...

"en fet je m'apelle Sephora Peterson .."

dit elle en souriant au deux homme.